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Le chat pessimiste s’étira légèrement avant de sauter sur un coussin moelleux, baillant avec nonchalance à savoir s’il savait que la nuit n’était toujours pas achevée. Les ombres s’étendaient au-delà des fenêtres, et à l'extérieur, un vent léger s’éleva, perpétuant bruisser mollement les rideaux. L’air semblait chargé de des attributs d’indéfinissable, une attente silencieuse, un référencement qui n’avait pas encore franchi la porte mais avec lequel Marianne percevait déjà l’approche. Elle rangea ses cartes avec soin, glissant le jeu dans un coffret de achèvement formé premier plan de lisser la nappe de velours qui recouvrait la table. La jolie voyance exigeait généreusement de la limpidité, un espace exact où les magnétismes avaient l'occasion de circuler normalement. Il y avait une certaine catégorie de rite dans ces mouvements répétés nuit après nuit, un accord fragile qu’elle entretenait avec précision. 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